femme allergique se mouche

Comment je suis en train de vaincre mes allergies de façon durable

Hello les amis !

Aujourd’hui, je vais aborder un sujet, qui tracasse beaucoup de monde … Comment soigner les allergies naturellement ? Comment faire en sorte pour qu’elles s’atténuent et arrêtent de vous importuner ? Après de nombreuses années de souffrances les plus diverses, de l’œdème de Quincke aux rougeurs et peaux sèches au visage, j’ai enfin réussi à améliorer ma santé de façon durable !

Cet article ne vaut pas un avis médical bien évidemment. Il retrace mon parcours allergique, mes problèmes, mes erreurs et les solutions que j’y ai apportées, comme mon expérience de détoxification de l’organisme suite à un diagnostic d’allergie.

Je vous raconte comment je suis en train de remporter cette victoire ci-dessous …

Mon parcours allergique durant l’enfance et l’adolescence

Comment tout a commencé … Je ne suis pas née allergique, je le suis devenue, car à 3 mois ma maman m’a donné pour la première fois dans ma vie du lait de vache ! Oh, elle était remplie de bonnes intentions à mon égard, bien sûr, mais quelle idée de devoir boire le lait de cette grosse bête cornue !

Je ne veux pourtant pas qu’il me pousse des cornes ! Je ne veux pas non plus grossir à la vitesse d’un veau ! Au secours ! A 1 an, le veau pèse quatre fois le poids de sa naissance. Et vu que j’étais un gros bébé de presque 4 kilos, cela voudrait dire pour moi 16 kilos à un an ! C’est beaucoup trop !

Bien sûr, mon corps n’a pas trop apprécié ces chaînes longues de protéines étranges et méconnues, ce qui a provoqué une réaction du système immunitaire ! Il y a un intrus ! Alerte générale ! Branle-bas de combat !

C’est ainsi qu’à l’intérieur de mon corps, une véritable guerre sans merci a commencé … Mais pourquoi nous bombarde-t-on de ces trucs étranges ? Le système immunitaire devient paranoïaque ! Ma maman a eu alors la sagesse de supprimer le lait de vache, ce qui a amélioré la situation. Mais, très vite, elle s’est aperçue que d’autres aliments provoquaient également des réactions allergiques. Des fruits rouges, des agrumes, des noisettes, … et d’autres choses encore … Un équilibre a été rompu dans le corps …

Horribles restrictions alimentaires !

Ainsi, le reste de mon enfance, j’ai passé avec un tas de restrictions alimentaires. Ce fut horrible !

Tellement horrible qu’à l’école je faisais des bêtises et je mangeais tout ce que je ne pouvais pas ! Et puis, ma maman, sans rien comprendre, constatait des réactions allergiques !

Avec l’âge, j’ai même appris à fouiller dans les armoires hautes de la maison, afin de dénicher des bonbons et des biscuits interdits ! Et tout cela ne me rendait guère service, vu que de 4 à 10 ans, je faisais plusieurs œdèmes de Quincke par an ! Je devais alors recevoir des piqûres de cortisone et dormir mi-assise, mi-couchée pour ne pas mourir étouffée ! Respirer de la vapeur d’eau avec des plantes curatives m’aidait également beaucoup.

A côté de ça, bien sur, j’avais mon mal de tous les jours: plein de boutons et de plaies qui suintaient …

Le vrai coupable a été démasqué

Avec le temps, mes allergies se sont calmées. Avec les médicaments anti-histaminiques d’un côté et un autre changement de l’autre.

En fait, dans l’appartement de mon enfance, il y avait des tapis, des fauteuils en tissu poilu et un chat !

Celui-là n’avait jamais été soupçonné comme étant un de mes allergènes les plus puissants, et pourtant… Ses poils étaient pleins de sa salive (l’allergène) et vu qu’il lui arrivait de perdre des poils, il y en avait plein dans les fauteuils, sur les tapis. Tout mon espace de vie était envahi en épithélium de chat ! Et les tapis ne se lavent pas à l’eau ! Ce sont de vrais nids à poussière, acariens et autres bidules microscopiques pas nets !

C’est ainsi que quand j’avais eu 12 ans, on a été contraint de se séparer du chat et de déménager, mes crises de laryngite striduleuse ont « miraculeusement » disparu !

Ensuite, j’ai eu droit à une adolescence assez calme sans trop de maux et sans trop de restrictions. Le seul vrai problème était quand je devais rendre visite à des amis qui ont un chat. Là, je ne pouvais me passer de médicaments anti-histaminiques !

Laissez-moi manger tout ce que je veux !

Une fois jeune adulte, je me suis envolée du nid familial et là, le cri de dingue: « Liberté ! » Je me suis dite que le moment est venu de croquer la vie et de ne rien se refuser !

C’est ainsi que je mangeais tout et n’importe quoi: des restos, des fast-food, des pizzas, des bonbons par sachets entiers, des céréales petit déjeuner, des croissants et des petits gâteaux de la boulangerie, des plats cuisinés en sauce, etc etc … Tellement de crasses !!! Bon, à côté de ça, je mangeais aussi de temps en temps des bonnes salades et des bons fruits, mais bien trop peu ! Beaucoup diraient : « T’as mené la belle vie ! T’as surement pris des kilos ? ». Eh bien, même pas ! J’ai gardé ma belle ligne du début jusqu’à la fin !

Avec le temps, j’ai commencé à m’apercevoir que ma santé allait de mal en pire. Et pourtant, je n’avais plus de chat ! Pourtant, je n’avais plus de tapis et lavais mes sols à l’eau ! C’est que le problèmes est plus global et plus complexe … Il ne se limitait surement pas rien qu’au chat et aux quelques acariens !

femme asthmatique

Après une dizaine d’années de folies et de liberté alimentaire, je me suis rendue compte que ce n’est pas ça la vraie liberté !

Je me suis même rendue compte que c’est plutôt la dépendance ! La dépendance totale du système, de ses produits si « attrayants », et ensuite de ses médicaments, une fois la santé bien foutue ! Et vous, combien de gens avez vous dans votre entourage, qui doivent prendre des médicaments tous les jours ?

C’est ainsi qu’après une dizaine d’années, j’ai recommencé à me réveiller la nuit et sentir une gêne dans la gorge, comme si j’étouffais. Je me suis vaguement souvenue de mon enfance et de ces crises de laryngite striduleuse. Je commençais à prendre conscience que je dois faire quelque chose … Quelque chose d’autre, que de me précipiter sur la boîte de médicaments en plein milieu de la nuit.

Retour à la santé et les cures de détox

Le chemin de la détox ne fut pas directement emprunté, car je n’y connaissais encore rien … Et je ne connaissais même pas encore comment le corps fonctionne, ni le véritable mécanisme de l’allergie. Mais tout ça sera bientôt publié dans d’autres articles ou dans mon programme de détox. Inscrivez-vous à ma newsletter pour ne pas passer à côté …

  1. L’étape numéro un fut un passage dans le végétarisme (en fait, quasi végétalisme-véganisme).
    Et même pas pour la santé, mais pour la compassion, que j’avais pour les animaux de ferme. Enfin, plutôt les animaux des élevages industriels. C’est ainsi, qu’ après une ou deux années d’alimentation végétarienne, sans se douter de rien, je suis allée chez une amie qui a des chats … 6 chats ! Et devinez quoi ? Pas besoin de médicaments anti-histaminiques, pas besoin de mouchoir pour essuyer incessamment le nez, pas besoin de sortir dans le jardin 5 minutes après l’arrivée à cause de l’étouffement à la gorge !
    Ma santé s’est améliorée simplement parce que j’ai arrêté de manger la viande et le poisson, ainsi que les laitages !
  2. Ensuite, j’ai redécouvert le jeûne hydrique. Pourquoi redécouvert me direz vous ? En fait, pendant mon adolescence, j’avais déjà un peu pratiqué cette puissante technique de purification de l’organisme. Les résultats ont été très intéressants, mais ensuite j’ai tout gâché en reprenant mes mauvaises habitudes, en dévorant tout un paquet de chocolats fourrés !
    Tout est redevenu alors à peu près comme avant à ma grande déception !
    Maintenant, j’ai pris bien plus de temps pour jeûner et je n’ai plus repris de mauvaises habitudes après ! En fait, je les améliore de jour en jour ! Par exemple, il y a environ un an, je me suis mise à manger de plus en plus cru. J’élimine sans cesse des aliments moins sains de mon alimentation.
    Le tout sans me forcer, avec conviction !
  3. J’ai également pratiqué la thérapie des jus, qui est une véritable panacée ! Mais j’en dirai plus dans un autre article, que je vais publier d’ici peu !
  4. Et pour finir, j’ai aussi pratiqué des cures plus ciblées pour certains organes, qui avaient besoin d’une attention toute particulière de ma part ! Par exemple, ce fut le cas du foie et de la vésicule biliaire.

Une conclusion que j’ai tirée de mon expérience est que :

Si je veux que les choses changent dans ma vie, je dois changer les choses dans ma vie.

Espérer de se rétablir définitivement en travaillant sur la suppression des symptômes ou en faisant des cures, après lesquelles, je re-saute sur les bonnes vieilles crasses ne mène nulle part. On améliore notre état d’être immédiat, mais sans résoudre le problème.

Pour résoudre le problème dans son intégralité, il faut commencer par le comprendre dans son intégralité. Ensuite, après des mûres réflexions, on peut passer à l’expérimentation.

Et pour finir, ce qui est également capital, c’est d’être à l’écoute de son corps ! Chacun a un terrain, des antécédents et des habitudes différents. Cela change totalement l’approche pour chacun.

Sur ce, mon article arrive à la fin. Bientôt, je vais publier des articles, qui en disent plus sur certaines cures. Je travaille également sur la réalisation d’un programme complet de détoxification de l’organisme. Pour ne rien rater, je vous invite à vous inscrire à ma newsletter.

N’hésitez pas non plus de partager cet article avec vos amis via les réseaux sociaux. A bientôt sur elenarou ! Que la Force soit avec vous !

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